Absent à Brossard: le message de Noah Dobson donne des frissons dans le dos

Absent à Brossard: le message de Noah Dobson donne des frissons dans le dos

Par David Garel le 2025-08-02

Dans le vestiaire du Canadien de Montréal, il y a ceux qui suivent la vague… et il y a Noah Dobson.

À peine débarqué dans la métropole québécoise, Dobson a déjà posé ses valises avec le style et la confiance d’un vétéran.

Et il n’a pas mis de temps à envoyer un message retentissant à toute la LNH, à ses nouveaux coéquipiers, et surtout à ceux qui doutaient de lui : je suis ici pour dominer. Et je vais le faire à ma façon.

Dans le vestiaire, chaque voiture raconte une histoire. Slafkovsky roule en BMW M5 Competition, une bête de 617 chevaux valant plus de 145 000 $, qu’il a fièrement achetée en Ontario.

Ivan Demidov, lui, s’est tourné vers une Audi RS6 2025, une familiale de luxe à 140 000 $ qui allie vitesse et sophistication.

Alors que la majorité des jeunes vedettes du CH roulent en BMW, Mercedes ou Audi, des voitures synonymes de luxe, oui, mais devenues presque banales dans le monde des millionnaires du hockey , Dobson, lui, a choisi autre chose. Il a choisi Cadillac. Et il l’assume à 100 %.

Un message clair. Un symbole de statut, de classe, mais surtout d’indépendance.

Et ce n’est pas un choix banal.

Avanrt même son arrivée à Montréal, Noah Dobson a signé une entente officielle de partenariat avec Cadillac. Pas un petit placement discret. Non.

Une vidéo promotionnelle de feu, où on le voit avec sa conjointe Alexa Dobson poser fièrement devant un SUV Cadillac flambant neuve, lors de leur mariage. Sourire fendu, lunettes de soleil, allure de mannequin : le boss est arrivé.

« Tellement fiers d’être les ambassadeurs Caddy! », peut-on lire dans la publication partagée par Alexa sur les réseaux sociaux. « Merci à Cadillac Motors pour avoir fait partie de notre semaine de mariage, et de la journée la plus spéciale de notre vie. »


Et voilà. Sans même avoir enfilé le chandail du Canadien sur la glace du Centre Bell, Noah Dobson est déjà traité comme une vedette.

Différent. Par choix.

Il aurait pu faire comme les autres. Se fondre dans le moule. Rester discret. Rouler comme Slafkovsky en BMW, comme Demidov en Audi RS6, comme Xhekaj en Mercedes. Il aurait pu attendre, se faire accepter doucement, et suivre le courant.

Mais non. Dobson, lui, a choisi Cadillac.

Et tout ça, c’est bien plus qu’une simple voiture. C’est une message.

C’est une façon de dire : je ne suis pas ici pour être un parmi les autres. Je suis ici pour être au sommet.

Dans une ligue où les apparences comptent, où les jeunes veulent afficher leur réussite dès qu’ils signent leur contrat, Dobson a tout compris. Il n’essaie pas d’être cool : il est cool. Il n’essaie pas de plaire : il s’impose.

Son choix de rouler en Cadillac, c’est une manière de réaffirmer son identité, son indépendance, et surtout, son envie de faire les choses à sa manière.

Car oui, Noah Dobson le sait. Depuis quelques mois, les critiques pleuvent sur lui. Surtout depuis qu’il a été échangé à Montréal. Certains doutent de son attitude, de son implication, de sa constance.

D’autres l’accusent de ne pas être encore allé donner ses premiers coups de patin à Brossard, alors que les Demidov, Laine, Suzuki et compagnie sont déjà en train de suer dans le complexe d’entraînement.

Mais cette Cadillac, c’est aussi une réponse à tout ça. Un message qui donne des frissons dans le dos.

Il n’a pas besoin de se justifier. Il n’a rien à prouver.

Dobson brille par son absence. Pas parce qu’il n’est pas prêt, mais parce qu’il sait ce qu’il vaut. Parce qu’il est sûr de lui. Et parce qu’il veut arriver comme un boss. Il ne cherche pas à s’intégrer doucement. Il veut s’imposer d’un coup. À sa manière. 

Quand il ira à Brossard, il va y aller en Cadillac, avec classe, avec confiance, avec l’allure d’un joueur qui sait qu’il est un top 2 dans cette défensive, et qu’il est là pour rester.

C’est un message simple : je suis un boss. Je suis prêt. Parlez tant que vous voulez.

Noah Dobson n’a jamais été un joueur qui fait du bruit pour rien. Pas de déclarations tapageuses. Pas de crises de vedette.

Mais depuis quelques mois, il a décidé d’affirmer son statut. Il s’est marié, il s’est affiché. Il est en pleine maîtrise de son image.

Et il arrive à Montréal avec un contrat en poche, des statistiques solides, une réputation qui le précède… et un véhicule qui reflète parfaitement ce qu’il veut projeter : puissance, élégance, contrôle.

À 6 pieds 4, avec un tir foudroyant et une lecture de jeu élite, Dobson arrive dans une défensive congestionnée… mais il n’est pas là pour se battre pour un poste.

Il est déjà le leader de cette brigade. Le seul défenseur droitier d’impact. Le joueur qui, dès maintenant, va porter l’avantage numérique sur ses épaules.

Et cette image de Cadillac? C’est celle d’un joueur qui ne se couche pas devant la pression.

Déjà, plusieurs jeunes regardent Dobson comme un modèle. Non seulement pour son jeu, mais pour son côté "cocky", sa manière d’arriver en ville en patron. Il ne cherche pas l’approbation. Il impose le respect.

Et quand il va se présenter à Brossard, il n’arrivera pas comme un petit nouveau qui veut faire bonne impression. Il va débarquer comme un patron qui prend possession de ses lieux.

Et oui, il va se garer en Cadillac. Parce qu’il peut. Parce qu’il veut. Parce que c’est lui, le boss.

Un style à part. Une mentalité à part.

Certains fans veulent que les joueurs soient humbles, modestes, « terre-à-terre ». Mais la vérité, c’est que pour gagner à Montréal, il faut du caractère.

 Il faut des gars qui ne plient pas devant la pression. Des gars qui embrassent la ville, ses projecteurs, son intensité.

Dobson est ce gars-là.

Et sa Cadillac, ce n’est pas un caprice. C’est une déclaration. Une manière de dire : je suis prêt pour Montréal. Montréal est-elle prête pour moi?

Ce n’est pas une BMW de jeune qui veut flasher. Ce n’est pas une Audi de joueur-vedette en quête de buzz. C’est une Cadillac. Un symbole de tradition, de puissance, de leadership.

Et c’est exactement ce que Dobson veut projeter.

À Montréal, il y a des jeunes prometteurs. Des vétérans respectés. Mais Noah Dobson? C’est le boss.